Enfin, l'été...
Les petits oiseaux s’esbaudissent… et viennent se fracasser contre la vitre de mon bureau : je ramasse la bestiole, je la mets hors de portée de… dents, je la réconforte et un quart d’heure plus tard, elle s’envole au sommet de l’étagère…
… d’où elle s’envolera dans le jardin par la fenêtre préalablement ouverte, cette fois !