Le petit chat...
C'est le titre d'une poésie d'Edmond Rostand (Musardises) qui commence ainsi :
C'est un petit (hum...) chat noir (c'est raté) effronté comme un page,
Je le laisse jouer sur ma table souvent,
Quelquefois il s'assied sans faire de tapage,
On dirait un joli presse-papiers vivant.
Non seulement il presse les papiers, mais il les éparpille, les flanque par terre, et en plus, il s'étale sur tout le bureau : où est-ce que je bosse, moi ?